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    SOUS-BRANCHE ISSUE DES COURTOIS


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    IV - Jean François BOURSON, garçon voiturier, fils de François (1685-1742), tailleur d'habits à Vigy (1721, 1722, 1725, 1736), maître tailleur d'habits à Vigy (1724, 1727), et de Marie COLLIGNON (1686-1736), né à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle le vendredi 4 avril 1727, mort dès 1793. Il s'est marié le mardi 7 juin 1763 à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle [1] avec Barbe COURTOIS, rôtisseuse, née en 1736, d'où :

    1° Marie BOURSON, née vers 1772. Elle s'est mariée le jeudi 27 février 1794 à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle [2] avec Bernard MOUROT, né vers 1773, fils de Claude, et de Marie BILLOTTE.

    2° Louis BOURSON. Qui suit en V.

    3° Marguerite BOURSON, décédée à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle le dimanche 5 décembre 1819. Elle s'est mariée le mardi 22 octobre 1793 à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle [3] avec Antoine DELPECHE, décédé le jeudi 13 octobre 1814 à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle, fils de Jean (<1793), et de Sylvie BOISEL. Ils eurent :

    a) Nicolas DELPECHE, né à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle le vendredi 5 janvier 1798. Il s'est marié le samedi 7 octobre 1826 à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle avec Anne LEBOIS, née le samedi 19 décembre 1795 à Silly-sur-Nied (Moselle (Lorraine)), Moselle, décédée le jeudi 12 juillet 1832 à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle, à l'âge de trente-sept ans, fille de Jean (†1807), et de Marguerite GILLE (†1802). Nicolas s'est marié une seconde fois le samedi 11 janvier 1834 à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle [4] avec Marie BOURSON, née le samedi 19 septembre 1789 à Gondreville (Moselle (Lorraine)), Moselle, fille de Jean Nicolas (1739-1793), et de Marie BERDOUILLE (1754-1793) [5].

     

    V - Louis BOURSON, né à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle le lundi 20 mars 1775. Il s'est marié le jeudi 24 juin 1802 à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle avec Suzanne LECHOUX, née le lundi 16 octobre 1780 à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle, fille de Louis, et d'Anne GASSE [6], d'où :

    1° Georges BOURSON. Qui suit en VI.

    2° Catherine BOURSON, née à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle le lundi 18 août 1806. Elle s'est mariée le mardi 9 octobre 1827 à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle avec Louis BAUCOURT, né le lundi 19 août 1799 à Montigny-lès-Metz (Moselle (Lorraine)), Saint-Privat, fils de Charles (†1808), et de Marie LAURENT.

    3° Jacques BOURSON, né à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle le mercredi 14 août 1811.

    En 1872, demeurait à Arnaville, Meurthe-et-Moselle.

    Le jeudi 19 septembre 1872, option à Arnaville, Meurthe-et-Moselle : a opté pour la nationalité française (déclaration de citoyenneté).

    Il s'est marié le lundi 3 juillet 1837 à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle [7] avec Anne FÉLIX, née le lundi 20 avril 1807 à Sanry-sur-Nied (Moselle (Lorraine)), Moselle, fille de Gaspard, et de Marguerite HUMBERT (†1835).

    4° Antoinette BOURSON, née à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle le jeudi 10 février 1814, y décédée le mercredi 7 janvier 1852. Elle s'est mariée le vendredi 21 avril 1837 à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle [8] avec Gabriel SEMIN, né le samedi 19 février 1814 à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle, y décédé le vendredi 15 mai 1857, à l'âge de quarante-trois ans, fils de François, et de Françoise MESSIN. Elle eut de cet homme :

    a) Françoise SEMIN, née à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle le jeudi 15 février 1838. Elle s'est mariée le mercredi 15 avril 1863 à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle avec Simon ROBERT, né le samedi 17 janvier 1829 à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle, fils de François (†1932), et d'Anne Marguerite PAROF (†1862).

    5° Catherine BOURSON, née à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle le dimanche 18 mai 1823. Elle s'est mariée le samedi 11 août 1849 à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle avec Louis JACQUIN, né le mardi 13 mars 1821 à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle, fils de Nicolas (°~1794), et de Catherine MESSIN (°~1799) [9].

     

    VI - Georges BOURSON, né à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle le jeudi 17 mai 1804. Ne vivait plus en 1885. Il s'est marié le jeudi 19 juillet 1827 à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle avec Marguerite ROUSSELLE, née le dimanche 27 avril 1806 à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle, y décédée le vendredi 3 septembre 1869, à l'âge de soixante-trois ans, fille de Jean Antoine, et d'Élisabeth CALBA, d'où :

    1° Anne BOURSON, née à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle le mercredi 29 octobre 1828.

    En 1872, demeurait à Pagny-sur-Moselle, Meurthe-et-Moselle.

    Le lundi 23 septembre 1872, option à Pagny-sur-Moselle, Meurthe-et-Moselle : a opté pour la nationalité française (déclaration de citoyenneté où elle est qualifiée de veuve).

    Elle s'est mariée le lundi 21 juillet 1851 à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle avec Nicolas ERBACHER, né le samedi 17 janvier 1818 à Metz (Moselle (Lorraine)), décédé avant 1872, fils de Jean Georges (†1833), et d'Anne Marie Catherine MANEL (†1847).

    2° Anne BOURSON, née à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle le lundi 23 février 1835. Elle s'est mariée le jeudi 7 juin 1866 à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle avec Joseph GAUVIN, né le mardi 16 janvier 1838 à Vigneulles-lès-Hattonchâtel (Meuse (Lorraine)), Saint-Benoît-en-Woëvre, fils de Pierre Joseph, et de Julie Charles Adélaïde PIERRE.

    3° Barbe BOURSON, née à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle le samedi 4 décembre 1841. Elle s'est mariée le lundi 5 octobre 1868 à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle avec Pierre Auguste NICOLAS, né le vendredi 24 décembre 1847, veille de Noël à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle, fils d'Alexis, et de Marguerite CASPERT (†1862). Elle en a eu :

    a) Anne NICOLAS, née vers 1871. Elle s'est mariée avec François Nicolas HATRISSE.

    4° Jules Victor Nicolas BOURSON. Qui suit en VII.

    5° François Eugène (Eugène François) BOURSON, ouvrier en chaussures, cordonnier, né à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle le vendredi 23 novembre 1849.

    En 1872, demeurait à Pont-à-Mousson, Meurthe-et-Moselle.

    Le dimanche 8 septembre 1872, option à Pont-à-Mousson, Meurthe-et-Moselle : a opté pour la nationallité française (déclaration de citoyenneté).

    En août 1894, demeurait à Nancy, Rue Nabécor.

    En juillet 1919, demeurait à Nancy, 47 Rue du Général Fabvier.

    Il s'est marié le jeudi 13 juillet 1871 à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle avec Élisabeth Louise GAUVIN, née le mercredi 13 février 1850 à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle, décédée avant 1898, fille de Pierre Joseph, et de Julie Charles Adélaïde PIERRE. Il en eut :

    a) Anna BOURSON

    b) Marie Victorine BOURSON, venue au monde à Nancy (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle le mardi 24 juin 1873. Elle s'est mariée le lundi 30 septembre 1895 à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle avec Paul GROSCLAUDE, né le vendredi 29 mars 1872 à Nancy (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle, fils de Charles (<1895), et de Marguerite GRIFFATON.

    c) Joséphine BOURSON, employée de commerce, née à Nancy (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle le samedi 17 juillet 1875. Elle s'est mariée le samedi 15 janvier 1898 à Nancy (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle avec Alexandre Etienne RÉMY, né le jeudi 6 février 1873 à Nancy (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle, fils d'Eugène (<1898), et d'Anne Éléonore ARNOULD (1848-1906), piqueuse en chaussures [10].

    François Eugène (Eugène François) s'est marié une seconde fois le lundi 12 janvier 1885 à Nancy (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle [11] avec Anne Éléonore ARNOULD, piqueuse en chaussures, née le vendredi 23 juin 1848 à Nancy (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle, y décédée le mercredi 14 novembre 1906, à l'âge de cinquante-huit ans, fille d'Antoine, et de Marie Agathe JACQUOT [12].

     

    VII - Jules Victor Nicolas BOURSON, cordonnier, né à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle le mercredi 8 avril 1846, mort à Malzéville (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle le samedi 14 juin 1919.

    Le mercredi 12 juin 1872, option à Laxou, Meurthe-et-Moselle : a opté pour la nationalité française, assisté de son père (déclaration de citoyenneté). La mention du domicile correspond en fait au lieu de l'option, c'est dire que beaucoup ne devaient peut-être pas réellement être domiciliés au lieu en question, du reste, dans certains endroits à proximité, il y a une multitude d'options le même jour, à croire que les optants étaient venus en groupe.

    LA DÉCLARATION DE CITOYENNETÉ (OPTION)

    LES CAUSES 

    Les Alsaciens et une partie des Lorrains eurent à choisir entre la nationalité française et la nationalité allemande, suite à des événements qui ne les concernaient absolument pas ! On y trouve l'obsession de Bismarck à vouloir réaliser l'unité allemande à tout prix, l'affaire de la succession d'Espagne, la volonté de l'Impératrice Eugénie de garantir le trône pour le Prince Héritier Impérial et la dégradation des relations entre la France et la Prusse, ceci entretenu par le machiavélisme de Bismarck qui profitait de l'irresponsabilité du gouvernement français. Nos citoyens et nos campagnards étaient bien loin de ces problèmes..

    LES EFFETS DE LA PAIX 

    Le 10 mai 1871, le nouvel empire allemand annexe les quatres départements du Bas-Rhin, du Haut-Rhin (moins Belfort et son Territoire), de la Moselle, du tiers de la Meurthe (Château-Salins et Sarrebourg) et de deux cantons des Vosges (Saales et Schirmeck), soit un total de 1694 communes. Le traité de Francfort-sur-le-Main mettant fin à la guerre de 1870, est signé. Ce nouveau "Land" constitué n'aura pas d'autonomie interne comme les autres 25 "Länder" allemands, il sera directement administré par la Chancellerie d'Etat de Berlin. La population totale de l'Alsace-Lorraine était en 1871 de 1. 579. 738 habitants.

    En réalité, l'Alsace et la Lorraine étaient annexées de fait depuis le 14 août 1870, huit jours après la défaite de Mac-Mahon à Froeschwiller. Par ordre du Roi de Prusse, von Bismarck-Bolen avait été nommé gouverneur militaire en Alsace et von Bonin en Lorraine. En septembre 1870, l'état-major prussien avait publié une carte avec les nouvelles frontières, incluant déjà l'Alsace et Lorraine, alors que le sort de la guerre n'était nullement décidé.

    L'article 2 du traité de Francfort prévoit que les Alsaciens-Lorrains auront la faculté d'opter pour la nationalité française.

    "Les sujets français, originaires des territoires cédés, domiciliés actuellement sur ce territoire, qui entendront conserver la nationalité française, jouiront, jusqu'au 1er octobre 1872, et moyennant une déclaration préalable faite áa l'autorité compétente, de la faculté de transporter leur domicile en France et de s'y fixer, sans que ce droit puisse être altéré par les lois sur le service militaire, auquel cas la qualité de citoyen français leur sera maintenue.Ils seront libres de conserver leurs immeubles situés sur le territoire réuni à l'Allemagne. Aucun habitant des territoires cédés ne pourra être poursuivi, inquiété ou recherché, dans sa personne ou dans ses biens, à raison de ses actes politiques ou militaires pendant la guerre."

    Le 10 décembre 1871, les deux pays signent une convention additionnelle qui précise dans son article 1er :

    "Pour les individus originaires des territoires cédés qui résident hors d'Europe, le terme fixé par l'article 2 du traité de paix pour l'option entre la nationalité française ou la nationalité allemande est étendues jusqu'au premieroctobre 1873. L'option en faveur de la nationalité française résultera, pour ceux des individus qui résident hors d'Allemagne, d'une déclaration faite soit aux maires de leur domicile en France, soit dans une chancellerie diplomatique ouconsulaire française, ou de leur immatriculation dans une de ces chancelleries. Le gouvernement français notifiera au gouvernement allemand, et par périodes trimestrielles, les listes nominatives qu'il aura fait dresser d'après ces mêmes déclarations."

    Au moment de procéder à la signature de cette convention additionnelle, les plénipotentiaires ont fait la déclaration suivante :

    "Tous les militaires et marins français originaires des territoires cédés, actuellement sous les drapeaux et à quelque titre qu'ils y servent, même celui d'engagé volontaire ou de remplaçants, seront libérés en présentant à l'autorité militaire compétente leur déclaration d'option pour la nationalité allemande. Cette déclaration sera reçue, en France, devant le maire de la ville dans laquelle ils se trouvent en garnison ou de passage, et des extraits en seront notifiés au gouvernement allemand, dans la forme prévues par le dernier alinéa de l'article 1er de la convention additionnelle de ce jour."

    LES OPTANTS 

    On trouve différentes catégories d'optants, sachant qu'ils ont tous un point commun, ils doivent être nés dans les territoires annexés. :

    - les Alsaciens-Lorrains résidant en France non-annexée, leurs enfants mineurs nés hors des territoires annexés doivent opter avec les parents,

    - les Alsaciens-Lorrains résidant dans les colonies (notamment en Algérie) ou dans un pays étranger, même remarque concernant les enfants mineurs du cas précédent,

    - les Alsaciens-Lorrains, militaires ou marins exerçant sous le drapeau français, mais également les prisonniers, y compris les bagnards,

    - les Alsaciens-Lorrains résidant dans les territoires annexés et souhaitant quitter ces territoires pour aller s'installer en France ou à l'étranger.

    Mais quels sont ceux qui optèrent ? On aurait pu imaginer que ces options puissent ressembler à une sorte de plébiscite pour ou contre la France, ce qui ne sera pas le cas. Il faut se rendre compte du déchirement des individus placés devant ce choix. Opter signifiait quitter sa terre natale ou ne plus pouvoir y retourner.. Parmi ceux qui résidaient dans les territoires annexés, il y en eut qui optèrent pour montrer leur attachement à la France, mais qui ne partirent pas. D'autres optèrent, mais ne se résurent pas à partir, abandonnant famille et amis, leur vie ! Certains partirent effectivement, mais devant les difficultés à s'installer, devant le barrage de la langue et à cause du mal du pays, beaucoup revinrent. Ceux qui résidaient dans les territoires annexés firent leur déclaration dans les mairies de leur domicile, à la préfecture ou dans les villes de Belfort et Nancy qui devinrent deux lieux de passage important.

    Il y eu des options pour la nationalité allemande, mais en réalité, très peu. Ce sont essentiellement des prisonniers ou bagnards qui firent cette démarche, sans doute pour abréger leur peine..

    Source : http ://pagesperso-orange.fr/winterhalter

    Il s'est marié le lundi 8 février 1869 à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle avec Françoise RENAUDIN, née le dimanche 2 mars 1845 à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle, décédée le dimanche 22 juin 1902 à Malzéville (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle, à l'âge de cinquante-sept ans, fille de Jean (1803-1866), cordonnier, et de Luce WATIER (1807-1845), d'où :

    1° Élisabeth Louise dite Tante Elisa BOURSON, née à Metz (Moselle (Lorraine)), Moselle le dimanche 18 juillet 1869, morte en 1942. Elle s'est mariée le samedi 3 mai 1890 à Malzéville (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle avec Etienne Auguste Paul MARCHAL, né le samedi 16 mars 1867 à Eulmont (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle, décédé le dimanche 30 novembre 1924 à Malzéville (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle, à l'âge de cinquante-sept ans, fils de Martin Auguste, et d'Éléonore BAYARD (<1890).

    2° Auguste BOURSON, tanneur, né en 1872, mort en 1944.

    3° Catherine Eugénie BOURSON, née à Laxou (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle le vendredi 28 juin 1872, morte en 1946. Elle s'est mariée avec Lucien VANEL.

    4° Jeanne BOURSON, venue au monde à Malzéville (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle le samedi 26 février 1876, y décédée le dimanche 26 novembre 1876.

    5° Henri BOURSON, employé au Chemin de Fer, né à Malzéville (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle le dimanche 25 novembre 1877, décédé en janvier 1940. Il s'est marié le jeudi 4 août 1904 à Nancy (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle [13] avec Élise Marie NUSMANN, née le jeudi 2 octobre 1879 à Nancy (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle, fille de Joseph François, et de Clémence CLÉMENT. Naquirent de cette femme 

    a) Lucienne BOURSON, couturière.

    b) Marie Charlotte BOURSON, décédée en 1980

    6° Madeleine BOURSON, dite Mémère Nana, ouvrière en chaussures, ménagère (1924), née à Malzéville (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle le mercredi 20 août 1879, y décédée le jeudi 13 mai 1954 [14].

    En 1924, demeurait à Malzéville, Les Grosses Terres.

    Elle s'est mariée le samedi 6 décembre 1902 à Malzéville (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle avec Henri DIEBOLD, employé des Chemins de Fer (1924), né le jeudi 18 novembre 1875 à Malzéville (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle, y décédé le mardi 3 avril 1934, à l'âge de cinquante-neuf ans.

    7° Lucie BOURSON, lingère, née à Malzéville (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle le dimanche 10 septembre 1882, morte à Nancy (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle le mercredi 8 juillet 1903 [15]. Elle a eu une relation  avec Gustave NORDON[16]industriel, né le dimanche 1er juillet 1877 à Malzéville (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle, décédé le mardi 18 avril 1944 à Auschwitz-Birkenau ((Haute-Silésie)), POLOGNE, à l'âge de soixante-sept ans, fils d'Alfred, et de Sophie LÉVY [17]. Elle en a eu :

    a) Raymonde dite Etiennette BOURSON-MARCHAL, morte à Nancy (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-er-Moselle le samedi 9 mars 1963.

    Reconnue par sa mère BOURSON Lucie le mercredi 29 novembre 1899 à Nancy, Meurthe-et-Moselle

    8° Marie Charlotte BOURSON, repasseuse, cuisinière, née à Malzéville (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle le lundi 29 décembre 1884, y décédée le jeudi 5 mars 1964.

    9° Camille Raymonde BOURSON, née à Malzéville (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle le mardi 22 mars 1887, y décédée le lundi 12 mars 1888.

    10° Marcelle BOURSON, repasseuse, née le mardi 22 janvier 1889, décédée à Malzéville (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle le dimanche 13 octobre 1963.

    11° Louise BOURSON, lingère (1927), employée de commerce, née à Malzéville (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle le jeudi 14 mai 1891, morte à Nancy (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle le samedi 9 février 1963.

    En 1919, demeurait à Puymoyen, Charente.

    En 1927, demeurait à Malzéville, 43 Rue Sadi-Carnot.

    Elle s'est mariée le lundi 17 mars 1919 à Puymoyen (Charente (Poitou-Charentes)), Charente [18] avec François PASQUET, né le jeudi 2 avril 1874 à Mouthiers-sur-Boëme (Charente (Poitou-Charentes)), Charente, décédé le vendredi 25 mars 1927 à Nancy (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle, à l'âge de cinquante-trois ans. Louise s'est mariée une seconde fois le vendredi 9 décembre 1938 à Malzéville (Meurthe-et-Moselle (Lorraine)), Meurthe-et-Moselle [19] avec Eugène Émile Gabriel THIÉBAUT.

     

    [1] Arbre en ligne http://gw.geneanet.org/elily.

    [2] Acte de mariage du 9 ventôse An II relevé par le Cercle Généalogique de la Moselle.

    [3] Acte de mariage du 22 octobre 1793 relevé par le Cercle Généalogique de la Moselle.

    [4] Acte de mariage du 11 janvier 1834 relevé par le Cercle Généalogique de la Moselle.

    [5] Marie épousa aussi Jacques Rémy DESNOYER  et Melchior BLANCHARD.

    [6] Suzanne épousa aussi Claude JARY.

    [7] Acte de mariage du 3 juillet 1837 relevé par le Cercle Généalogique de la Moselle.

    [8] Acte de mariage du 21 avril 1837 relevé par le Cercle Généalogique de la Moselle.

    [9] Louis épousa aussi Louise NICOLAS.

    [10] Anne Éléonore avait aussi épousé François Eugène (Eugène François) BOURSON.

    [11] Acte de mariage du 12 janvier 1885 relevé par le Cercle Généalogique de Meurthe-et-Moselle.

    [12] Anne Éléonore épousa aussi Eugène RÉMY, qui lui a donné Alexandre Etienne RÉMY.

    [13] Acte de mariage du 4 août 1904 relevé par le Cercle Généalogique de Meurthe-et-Moselle.

    [14] Chemin des Grosses Terres.

    [15] Genre de mort : suicide.

    [16] Gustave a eu une histoire d'amour avec Lucie BOURSON. La mixité religieuse n'était alors pas acceptée par les familles, le couple n'a jamais été marié mais est née Raymonde dite Etiennette BOURSON, reconnue seulement par la mère, le 29 novembre 1899 à Nancy. Gustave NORDON s'est toutefois soucié de sa fille jusqu'à sa déportation. Suite à la mort de sa mère, Raymonde dite Etiennette a été élevée par sa tante Elisabeth Louise et adoptée prenant le nom de BOURSON-MARCHAL. Source : Jean Pierre POINSIGNON.

    [17] Gustave épousa aussi Berthe LÉVY.

    [18] Arbre en ligne http://gw.geneanet.org/roro55.

    [19]  id. 

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    SOUS-BRANCHE ISSUE DES LECLERC


    > 015 SOUS-BRANCHE ISSUE DES LECLERC


    III - Antoine BOURSON, charpentier à Vigy (1701), maître-charpentier à Vigy (1735), fils de Pierre (~1631-1711), et de Mangeotte JOB (~1637-1682), né à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle le vendredi 8 juin 1663, y décédé le dimanche 13 février 1735. Il s'est marié le samedi 2 juin 1685 à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle avec Jeanne (Anne) LECLERC, née vers 1660, décédée le mardi 19 avril 1735 à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle, d'où :

    1° Mangeotte BOURSON, née à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle le mardi 15 octobre 1686, y décédée le mercredi 21 mai 1687.

    2° Jean dit le Tourneur BOURSON. Qui suit en IV.

    3° Georges BOURSON, né à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle le lundi 4 juin 1691.

    4° Jeanne BOURSON, née à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle le jeudi 27 décembre 1691. Elle s'est mariée le mardi 30 janvier 1714 à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle avec Pierre CHEVALIER, fils de Jean, et d'Anne CLOSS.

    5° Catherine BOURSON. Auteur de la sous-branche issue des PETIT.

    6° Gaspard dit le Jeune BOURSON. Auteur de la sous-branche issue des PELTE-PELTRE.

    7° Jacques BOURSON. Auteur de la sous-branche issue des COLIN-COLLIN.

    8° Jacques BOURSON, né à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle le samedi 16 mars 1697.

    9° Pierre BOURSON, né à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle le dimanche 9 novembre 1698, y décédé le dimanche 16 novembre 1698.

    10° Dominique BOURSON. Auteur de la sous-branche issue des JOB.

    11° Marie BOURSON, née à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle le dimanche 2 octobre 1701, lendemain de la Saint-Rémy.

    12° Madeleine BOURSON, née à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle le samedi 7 avril 1703.

    13° Barbe BOURSON, née en 1704, morte à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle le jeudi 20 septembre 1753. Elle s'est mariée le mardi 22 novembre 1729 à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle avec Nicolas PETIT, huilier à Vigy (1731, 1732, 1734), ancien laboureur (1781), né en 1702, décédé le mercredi 7 février 1781 à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle, à l'âge de soixante-dix-neuf ans, fils de Nicolas (†1701), marguillier à Chailly (1688, 1680), et de Marguerite CHOUFFERT (†1708).

     

    IV - Jean dit le Tourneur BOURSON, charretier, manoeuvre à Vigy, charpentier à Vigy (1734), mis au monde à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle le mardi 28 octobre 1687, y décédé le mercredi 8 octobre 1755. Il s'est marié le mardi 2 mai 1730 à Metzeresche (Moselle (Lorraine)), Moselle avec Jeanne LUDWIG-LOUDIQUE-LUDIN-LUTVISE, fille de Bernard, et d'Élisabeth SCHARFF (<1730) [1] [2], d'où :

    1° Catherine BOURSON, née à Vigy (Moselle (Lorraine)) le dimanche 25 mars 1731.

    2° Marie BOURSON, née à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle le vendredi 29 janvier 1734, y décédée le mardi 11 juin 1816. Elle s'est mariée le mercredi 3 mars 1756 à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle avec Pierre NICOLAS, manoeuvre à Vigy (1757), tisserand à Vigy (1760, 1775), né en 1730 à Aboncourt (Moselle (Lorraine)), Moselle, décédé le mardi 31 octobre 1775 à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle, à l'âge de quarante-cinq ans, fils de Jean (<1756), et d'Anne GIRON-GYRON (<1756). Elle eut pour enfant :

    a) Marie NICOLAS, née à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle le samedi 25 octobre 1760, y décédée le jeudi 31 août 1837. Elle s'est mariée le mardi 8 janvier 1788 à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle avec Jean Pierre BERLIN, né le mercredi 5 juillet 1758 à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle, y décédé le jeudi 8 mars 1827, à l'âge de soixante-neuf ans, fils de Jean (1722-1792), manoeuvre à Vigy (1746, 1750), maçon à Vigy (1755, 1776, 1780), et d'Anne SALLERIN (1718-1789).

     

    Cette branche s'éteindra avant 1837 avec Marie NICOLAS

     

    [1] Jeanne épousa aussi Jean NOIR.

    [2] Élisabeth avait aussi épousé Jean NOIR.

     

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    COMMUNION SOLENNELLE VERS 1913

     

    > 016 COMMUNION À VIGY VERS 1913

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    Ces adolescents seraient certainement centenaires aujourd'hui.

    Néanmoins, si vous reconnaissez un ou plusieurs d'entre-eux,

    je vous serai reconnaissant de me le faire savoir.

    Merci d'avance

     


     


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    SOUS-BRANCHE ISSUE DES PETIT 

      

    > 017 SOUS-BRANCHE ISSUE DES PETIT

     

    IV - Catherine BOURSON, fille d'Antoine (1663-1735), charpentier à Vigy (1701), maître-charpentier à Vigy (1735), et de Jeanne (Anne) LECLERC (~1660-1735), née à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle le mardi 22 décembre 1693, y décédée le lundi 27 août 1753. Elle s'est mariée le mardi 14 novembre 1719 à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle avec Louis PETIT, maréchal ferrant à Vigy, né en 1694, décédé le samedi 23 juin 1764, veille de la Saint-Jean-Baptiste à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle, à l'âge de soixante-dix ans, fils de Michel (1669-1754), maréchal-ferrant, et de Judith Andrée MICHEL (1670-1747), d'où :

    1° Michel PETIT. Qui suit en V.

    2° Michel PETIT.

    3° Catherine PETIT. Auteur de la sous-branche issue des MATHIEU.

     

    V - Michel PETIT, maréchal-ferrant à Vigy (1753, 1756, 1780), nourricier (1755), né à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle le vendredi 12 août 1729, y décédé le mercredi 22 mars 1780. Il s'est marié le mardi 9 janvier 1753 à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle avec Catherine Barbe BAUDOUIN, née le jeudi 26 février 1733 à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle, y décédée le jeudi 15 mai 1788, à l'âge de cinquante-cinq ans, fille de Nicolas (1697-1763), et de Barbe RICHON (†1770), d'où :

     

    VI - Jean Louis PETIT, maréchal-ferrant à Vigy, né à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle le samedi 19 décembre 1767, y décédé le samedi 10 février 1821. Il s'est marié le mardi 9 février 1790 à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle avec Marie Anne GOULLON, née le jeudi 4 avril 1765 à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle, y décédée le mercredi 8 mars 1843, à l'âge de soixante-dix-huit ans, fille d'Antoine Nicolas (1725-1782), admodiateur, Laboureur à Vry, et de Marie ROYER (~1738-1794) [1], d'où :

    1° Michel Antoine PETIT, maréchal-ferrant à Vigy (1822, 1825), né à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle le mardi 6 mai 1794, décédé à Charly-Oradour (Moselle (Lorraine)), Moselle le mercredi 25 juillet 1866.

    Le samedi 13 février 1813, enrôlement militaire à Vigy, Moselle : Michel Petit, domicilié à Vigy, né à Vigy le 16 floréal An II, taille 1m760, cheveux et sourcils châtains, yeux bruns, nez moyen, bouche grande, menton rond, front court, visage long et pâle, s'enrôle volontairement dans la 9ème compagnie des ouvriers artilleurs stationnée à Grenoble (Isère). - Source : Mairie de Vigy - Registre des affaires communales.

    Il s'est marié avec Madeleine GODFRIN, cuisinière (1828), née vers 1793, décédée le dimanche 4 avril 1875 à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle, fille de Jean François, et de Catherine DORVAUX. De cette femme naquit :

    a) Catherine PETIT, née à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle le jeudi 14 mars 1822. Elle s'est mariée le mardi 14 novembre 1848 à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle avec Joseph CAYE, cordonnier, né le dimanche 30 août 1818 à Vigy (Moselle (Lorraine)), Moselle, y décédé le mercredi 27 septembre 1854, à l'âge de trente-six ans, fils de Jean (1788-1854), cordonnier, et d'Anne Charlotte POULAIN (°1787).

     

    Cette branche s'éteindra avant 1866 avec Michel Antoine PETIT


     [1] Antoine Nicolas avait aussi épousé Marie DAUSSE-DOSSE.

     

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